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nostalgie

Langueurs de septembre.

Passées les pesantes chaleurs que l'on redoute ici. Partis les semeurs de fêtes, touristes arrogants, inconditionnels baigneurs à peau blanche rougie par imprudence. Ce sont les retrouvailles au pays. Le temps de la repossession du terroir. On se reconnaît...

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L'Ermitage du Pèlerin

Comme tous les ans, à l'approche de la Saint Jean,le vieux pèlerin que je suis prend sac et bâton pour rejoindre là-haut le bruit du vent, des oiseaux et surtout le silence des cimes. Il redescendra les poumons remplies de l'odeur des rhododendrons et...

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Ma boite à souvenirs

Dans ma boite en carton, il y a des trésors. Cette boite de carton fort (contenait des chocolats SUCHARD au siècle dernier), m'a été donnée par mon père, il y a ...très longtemps. Visitée un milliard de fois, chaque objet me parle, chaque objet a son...

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Les Dernières Nouvelles (suite)

L'heure de l'anisette. Pendant cinq minutes, Sauveur y s'est demandé si il allait faire la tête ; et puis non. - Ecoute Benjamin, supposons que les Arabes y vont tous à l'école, qu'est-ce qui va se passer ? - Ti'as peur qu'y soyent plus intelligents que...

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Les Dernières Nouvelles (suite)

Chez les Tordjmann, la conversation, elle est tombée en même temps que le soir ; ça tombait bien pasqu'on devait aller tous rejoindre tonton Benjamin et tata Fifi, où y z'avaient joué aux cartes toutes l'après midi. Là-bas, de quoi on parle, bien sûr...

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Les Dernières Nouvelles...

La Toussaint, c'est la fête des morts, mais cette année-là, elle était égayée par le pont qu'on faisait du samedi-dimanche, qu'on rentrait tous travailler mardi, formidable ! Malgré tout, bien sûr, c'était la Toussaint, fête des morts, et moitié le sens...

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Senteurs mémorables...

Ce dimanche, un petit soleil d'hiver redonne à mon jardin un air de guinguette. Du coup, presque machinalement, le vieux parasol Miko emmailloté dans son sac, est libéré et ouvert sur la petite table ronde. La station de radio passe de la Sardane à l'accordéon....

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Du son de la souffrance.

Ola, Maestro Lagoya ! Sais-tu que les pleurs de ta guitare ont rythmé mes pas de Navarre à la Rioja ? Sais-tu qu'ils m'ont donné plus de courage que l'onde fraîche du ruisseau sur les chemins de Castilla y Léon ? Le goût de leurs larmes me parut plus...

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J'ai oublié de me dire, mais vous me le direz...