Jour après jour, nuit après nuit, Son visage s'estompe, son visage s'enfuit. Je cherche obstinément à garder en mémoire Les fibres de son âme, les lignes de notre histoire. Je sens encore le vide qui me blesse. Il se comble peu à peu pour disparaître...
Saurai-je jamais comment lui dire Comme mes nuits sont noires, Comme mon âme délire A croire aux belles histoires ? Pourrai-je jamais sourire Aux moindres lueurs d'espoir Aux incrédibles soupirs D'un plaisir transitoire ? Reviendront-ils enfin, Les matins...
Et maintenant, Que fait-on de nos souvenirs ? Pas ceux qui nous apaisent, Qui réconfortent Et qui nous laissent en paix. Que fait-on des souvenirs ? Ceux qui nous faisaient plonger Dans les rêves les plus fous, Dans les rêves les plus doux. Que fait-on...
J'ai eu l'occasion de visiter une de ses réalisations "Le Palais Episcopal d'Astorga" sur le Chemin de St Jacques de Compostelle, avec une autre à Barcelone... Je suis, à jamais, impressionné par son expression artistique. Aujourd'hui, le TSP Benoit XVI...